Dès notre enfance, nous avons appris à prendre soin des objets auxquels nous tenons. Mais étrangement, cela ne vaut pas pour la nature : alors qu’elle est certainement notre bien le plus précieux, les humains ont tendance à l’abîmer, voire à la surexploiter. Est-ce qu’il en serait autrement si la nature avait une valeur marchande ?